Son album
Ses années 80
Oui !... en 1980 à Bergerac nous en étions encore au Daguerréotype, puis la couleur fut...
Porte ouverte sur la Miss Air
Ce blog est ouvert à tous les anciens de CERP de Bergerac, en hommage et à la mémoire de Bruno ROQUET
photo : Bruno Roquet
Son album
Ses années 80
Oui !... en 1980 à Bergerac nous en étions encore au Daguerréotype, puis la couleur fut...
Portrait de Rosemay de la Besse, vice-présidente de l'amicale des Infirmières Pilote Secouristes de l'Air de la Croix-Rouge Française (IPSA) Réalisation Frédéric Joli
Bergerac Day 2013
Lionel R vous informe
Autry le Châtel (Loiret),
petit village gaulois du centre de la France
Samedi 18 et Dimanche 19 mai 2013
Réponse rapide souhaitée...
...au plus tard avant fin mars
l.romanin@@wanadoo.fr et miss_air@@live.fr
retirer le @ en rouge
Recalage et programme en fonction des réponses
Bizzzzzz à toutes et à tous
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Le reportage de JC A
Un autre style
Une autre poésie... de la réunion vu de la Réunion
D'abord le vin fut béni par le pasteur chinois, fin connaisseur....Jack ....et son épouse
Au début même Anne Marie était sage essayant de remplir son Falcon (et non flacon, comme le croyait Ramon)...
puis le vin aidant...
Mauvaises proportions; beaucoup trop de nanas et Jack chancelle (c'était un pot à lui..)
Beaucoup ne sont jamais arrivés et cherchent encore le camping! arrêtés qu'ils furent en Espagne...
Méfiez-vous du Corse toujours un ou deux couteaux à la main...la discussion tourne au vinaigre...
Profitons des absents...les mains....sur la table SVP
Abus d'antigel préconisé; combien de points? pas besoin d'Alcotest les visages parlent d'eux-mêmes...
A.Baufumé et JM.Maheu arrivés....oui ...mais le dimanche soir, lorsque tout le monde était parti...
c'est bien d'avoir essayé Alain!!
Trois furent prises sur les trottoirs du Bugue, ramenées dans le panier à salade !
On fait le malin sous le regard du grand père !
L'ancêtre parachutiste en démonstration de la position de dérive ( la tête un peu lourde disait-il...)
Les soustifs à Jack en Dordogne profonde vers les troglodytes, ses premiers habits...
Ses grands parents habitaient au 3eme! 2eme fenêtre à droite
Petit trafic de chinoiseries magiques
Quand la pizza se fait attendre, seul Pierrot prit ses 300 calories en trop...
Un seul sportif dans cette bande d'ivrognes: Doumé....nec, le corse
En arrière plan la caravane à P.Gerbal , elle bouge encore!
Le retour; de St Denis à la route du littoral....plus de grottes, fini la (pré) histoire...
A bientôt pour un Bergerac Day's à la Réunion jcl
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Le BUGUE (24)
Au commencement le ciel était gris et pluvieux.
Le camping était désert et vide.
Puis le soleil fut de retour.
Cela nous a permis de faire notre petit cinéma habituel.
Premier des scénarios :
Le retour
Puis :
Les paras font du mobile Home
Bien venu au club… de golf
Délivrance
Ce n’est qu’un au-revoir, mes frères et sœurs
Reportage photo Eliane Farbos
Il est quand même resté calme
Trois qui bossent, six qui regardent
Ce sont les mêmes qui rament
On c'est même fait de nouveaux copains !
C'est bon signe !
Voilà un petit mot à mettre sur le blog
Malheureusement je n’ai pas de photos de cette époque si lointaine ;-)
Je viens de lire les pages de Marie-Odile Barthomeuf et Corinne Terrasse et cela m’a replongée dans mes débuts parachutistes ( laborieux il faut le dire !)
C’est une photo d’une étoile de chuteurs joviaux qui m’a donné l’illumination à la fac, à Rouen ... Didier Klein en était l’auteur , merci Didier sans qui je n’aurais jamais connu le bonheur de la chute ! Il nous a initiées à la sortie d’avion face moteur ( ça c’est vraiment dur dur ), au maniement du rond à fente ( ben y avait que ça ), et surtout l’art du roulé-boulé , excellent !
J’étais hyper motivée ( 40 sauts d’automatique quand même ... ) pour arriver au bonheur promis par cette photo . Grâce à Ramon Llados qui m’a délivrée de ‘l’ouverture commandée sur le dos’ , je réussis 1 an plus tard à chuter 8 secondes, l’extase , puis pas longtemps après enfin, j’ai vu quelqu’un en chute, le rêve de la photo s’était concrétisé.
Cette période de para à Bergerac reste inoubliable. Nous y retrouvions non seulement une passion, mais surtout une ambiance, une âme sur ce terrain de Bergerac Roumanière.
Merci à Pascal et Jacques ( Jacques Driol, mon largueur au premier saut, ça ne s’oublie pas ça J ) de nous faire revivre ces bons moments.
J'ai fait ma PAC avec Ramon et jean dont j'ai eu quelques nouvelles grâce à miss air mais j'aimerais vraiment beaucoup avoir des nouvelles de Ramon.
Alain Beaufumé
Les clides
24150 MAUZAC et GRAND CASTANG
Monsieur le chef de brigade
C’était le 22 janvier de cette année ou à peu prés, il faisait froid, le gel durait presque toute la journée et l’on n’avait guère envie de sortir un brave retraité bricolait sa moto et, pour un réglage final, l’enfourchât afin de parcourir un bout de route en « cul de sac » longeant son domicile.
Vos hommes passèrent à ce moment et eurent tôt fait de constater que le délinquant n’avait sur lui ni casque ni papiers. Les représentants de la loi, flairaient le vol simple mais peut être plus, vol à l’arraché ou mieux encore, avec violences, les indices suivant pouvant les laisser présager.
Absence de gants et de blouson, par ce temps là. Fallait-il être pressé de prendre la fuite.
De plus, notre voleur tenait à la main la pièce à conviction pouvant étayer le rapport, accompagnée par les explications que je viens de vous donner.
Vos gens d’armes auraient pu verbaliser pour l’absence de document mais, magnanimes, acceptèrent de l’accompagner à son domicile pour y chercher ceux-ci. Je dois vous l’avouer, ils prirent là un grand risque, car l’on ne peu présumer des réactions d’une bête acculée au fin fond d’une impasse.
En arrivant, l’œil aux aguets, ils virent tout d’abord le garage ouvert, les outils étalés.Ils écoutèrent Mireille Mathieu sur la radio diffusant en sourdine « OUI JE CROIS QU’ ON PEUT BATIR UN MONDE AVEC DES MOTS D’AMOUR » dans l’attente des documents qui leur furent remis.
Les explications ne durent pas êtres convaincantes, les faits peu probants et le désordre public suffisamment important pour que procès verbal écrit soit dressé pour non port de casque avec amande et retrait de point.
La loi et dure mais c’est la loi.
Monsieur le chef, je tiens la gendarmerie pour un corps de qualité qui protège le peuple français et ne peux que déplorer un tel comportement. La grosse voix aurait due suffire pour impressionner notre brave papi.
Si tous les éléments ci-dessus évoqués ne leur ont pas permis de comprendre la réalité, ils n’ont évidemment pu percevoir le mal qu’ils faisaient par cette action démesurée à leur propre corps.
Ce 21 janvier, vos hommes n’ont pas commis qu’une imbécillité, ils ont déshonoré la gendarmerie.
Je dois vous préciser que ce brave monsieur a déjà eut à faire avec votre brigade il y a trois années de cela lorsque, rentrant chez lui, il vit une de vos voitures embourbées dans le fossé. Délaissant toute action actuelle, il alla rapidement chercher son tracteur et revint tirer vos subordonnés de ce mauvais pas.
A cette époque la, je dois reconnaître que vous ne vous étiez pas enquis de connaître son adresse pour lui faire parvenir un mot de remerciement.
Heureusement car je crois savoir qu’il n’avait pas sur lui les papiers de son tracteur. Mais tout le monde était dans l’urgence.
Moi qui ne suis pas concerné, je vous prie de croire en mes sentiments républicains
Monsieur,
J'ai pris note de vos judicieuses observations et de votre sage analyse des faits que vous venez de me soumettre.
J'ai également pris ma retraite voici quelques années, à l'âge de cinquante ans, alors qu'il m'était possible de servir encore cinq années avec le grade de major.
Rendez-vous compte, cher ami "MAJOR". Mais il ne m'était plus possible de servir dans la dignité, conformément à l'usage que m'avaient inculqué "les anciens."
Il allait de soi, en ce temps là, de ne jamais verbaliser un médecin, qui était sensé porter assistance et secours.
De rendre service aux usagers de la route de respecter le code de déontologie que tout fonctionnaire de police ou de gendarmerie ce doit de porter sur lui, avec sa carte professionnelle.
Je doute fort que ce gendarme zélé ne l'eusse sur lui le jour ou il pu entrer à sa brigade en s'écriant : "C'est fait, CHEF, J’ai un numéro peu comun. Un défaut de casque. Il y a long temps con en a pa fé.
Cé bon pour les statistykes. Je peu avoir mon repo de main, alors, c'est ma fille qui sera con tente."
En ce temps là, nous n'étions pas encore au "chiffre" et avions la faculté de ne verbaliser que les conducteurs Franchement dangereux. Encore heureux que notre gendarme nouvelle génération (géné, nous le sommes et la ration nous l'avons) n’eut pas l'idée de placer notre bien modeste motocycliste mécanicien en garde à vue. De nos jours, il ne fait pas bon sortir ; Pas plus sur la voie publique que dans les impasses sans s'exposer aux tirs croisés de ceux qui nous "protègent" du temps des rois, l'on se savait spoliés mais surement protégés. Mais cela, il faut le dire au moment de l'isoloir.
Alors VIVE LE ROI !
E-mail
pierre.gerbal@@@@sfr.fr
NDLR : on sent quand même qu’il en a "pavé"… le poulet soixante-huitard.
SOUVENIRS, SOUVENIRS...
C’était l’époque où les Cénobites tranquilles s’entraînaient (Vol Relatif à 4) pour le Championnat du Monde en Australie, de novembre 1977.
C’était aussi l’époque, où Montaron, leader de l’équipe, s’était fâché avec monsieur Prik, et avait établi ses quartiers de l’autre coté du Pecos, dans un bâtiment de la chambre de commerce, en face de l’entrée du centre. Montaron louait le Cessna 185 à monsieur Rouilles, et je pilotais indifféremment les Broussards de monsieur Prik ou le 185 de Rouilles.
Donc, un matin, dans le 185, j’embarque Montaron, De Gaillande, Llados (Ramon), et Trincard, le temps était moyen, la couche à 1000 mètres, mais quelques trous corrects. Nous décollons, et passant par un de ces trous, prenons de l’altitude. Popeye (Martincourt) au sol avec l’Antonof embarquait des jeunes de l’U.C.P.A, pour des premiers sauts en automatique.
Vers 2000 mètres, je m’aperçois que la couche s’est bien refermée, et on se trouve dans le grand bleu magnifique, avec une belle nappe toute blanche en dessous, mais je continue à monter confiant, pour atteindre mes 2500 m.
Une fois arrivé à l’altitude désirée, j’affiche mon premier V.O.R sur Sauveterre, et mon 2ème V.O.R sur Limoge, pour afficher mes radiales et par recoupement me positionner verticale le terrain. Comme c’était la 1ère fois que je me servais des ces V.O.R sur cet avion, j’ignorais qu’ils avaient tous les deux une erreur instrumentale. Mes radiales se recoupant correctement, j’informe la tour que je largue mes gars, et entame ma descente à la recherche d’un trou pour percer. Sur le terrain, Popeye s’inquiète, et me demande s’il peut larguer ses automatiques, car il me voit pas mes 4 relativeurs. Je continue ma descente, je vois un magnifique trou, et aperçois un château d’eau, donc, je pense que c’est celui de Creysse au nord de la poudrerie. Une fois sous la couche, ne voyant pas la poudrerie, et ne reconnaissant pas la paysage, j’agrandis un peu mon cercle, et survole Mussidan... (20Km de Bergerac) ; Popeye m’appelle demandant s’il peut larguer ses automatiques. En rigolant, je lui assure que les miens sont loin du terrain, et qu’il peut larguer en toute tranquillité. Je rentre à Roumanière, me pose, et quand même un peu inquiet je vais au centre pour discuter avec monsieur Prik et Popeye en attendant le résultat de mon largage. 10 minutes après le téléphone sonne, on m’appelle... c’est Montarron qui m’informe qu’ils se sont fait amener chez moi, ayant atterri dans les parages (à l’époque j’habitais Maurens, 12 Km de Bergerac !), qu’ils ont demandé à ma femme de leur ouvrir une bouteille de champagne, et même qu’il était en train de fumer ma pipe... je suis vite parti les chercher en voiture pour terminer la bouteille de champagne avec eux, et rigoler de cette erreur de largage.
J.P MAUSSIRE, pilote largueur de 1969 à 1987.
L'objectif 40 000 mètres c'est décidé, le Grand Saut de Michel c'est pour cette année.
Suivez et encouragez l'exploit sur son site :
Une photo d'archive prise en juillet 1964 au CICAPSO de Bergerac où j'ai fait mes premiers sauts "civil" , après la PM Para.
Claude VIGNEAU et ce fabuleux D.H. 89A
" Boboc,Pour info tu pourrais faire passer l'annonce de la disparition du Colonel Daniel GARUZ au Pérou, il est décédé le 14 janvier 2011, et avons ( avec Jérome LEMOINE que tu connais bien) été prévenus ces jours-ci par son épouse Olga, très affectée.J'ai maintenant un peu plus de nouvelles par les amis parachutistes Péruviens ( Docteur Jaime CHANG ) ...Pour tous ceux qui l'ont connu dans le sud et ailleurs, Daniel GARUZ à créé avec un autre ancien; THUREL, le paraclub de Cahors dans les années 70, il a sauté dans beaucoup de Clubs, dont aussi à Bergerac.Gravement blessé a un bras en Indochine, je crois -il était très discret dans toutes ses actions tant militaires, que civiles plus tard au Pérou- cela ne l'empêchait pas de sauter et aussi de piloter les Cessna pour larguer au Centre de para de Lima.Il était en poste d'attaché militaire au Pérou, mais rayonnait par ses actions officielles ou sportives dans plusieurs pays d'Amérique du sud.Avec une discrétion et une modestie extrême, il a servi les intérêts Français dans la région avec les marchés d'équipements militaires; du gros ( Mirages...) et du plus souple ( parachutes EFA, PF....) .A la retraite,il est resté vivre, avec son épouse Olga - Péruvienne d'origine-, dans ce pays adoptif qu'il aimait, et au lieu de prendre du repos, il a continué a organiser l'activité, les compétitions et se démener pour le parachutisme sportif.Plus connu et reconnu, certainement dans cette partie du monde qu'en France, il a largement contribué à renforcer les liens France-Amérique Latine, parmi toute une population active et cultivée qui ne l'a pas laissé tomber.Pendant le déclin progressif de sa santé, qui s'est étalé sur plusieurs mois, jusqu'à en arriver à un état végétatif; les paras de plusieurs clubs n'ont pas tourné le dos, ils l'ont accompagné jusqu'à la fin, soutenant aussi son épouse.Auparavant, lorsqu'il pouvait encore se déplacer, c'est en donnant son nom au centre de parachutisme de LIMA, qu'ils ont décidé de l'honorer par une réception très émouvante ( ou il était, parait-il, très gêné par cette surprise ).Je me suis permis de remercier les représentants des clubs Péruviens pour cette attitude au nom des parachutistes Français qui le connaissaient.Le cercueil de Daniel GARUZ devrait arriver sous peu, il sera enterré au cimetière de LANGOIRAN, d'où il était originaire.Il avait là une maison où il venait passer quelques mois en été, au milieu des vignes qu'il appréciait.Je n'ai pas de précisions sur le déroulement des obsèques, mais Jérome Lemoine essaye de se renseigner avec la mairie du lieu.