Une photo d'archive prise en juillet 1964 au CICAPSO de Bergerac où j'ai fait mes premiers sauts "civil" , après la PM Para.
Claude VIGNEAU et ce fabuleux D.H. 89A
Porte ouverte sur la Miss Air
Ce blog est ouvert à tous les anciens de CERP de Bergerac, en hommage et à la mémoire de Bruno ROQUET
photo : Bruno Roquet
Une photo d'archive prise en juillet 1964 au CICAPSO de Bergerac où j'ai fait mes premiers sauts "civil" , après la PM Para.
Claude VIGNEAU et ce fabuleux D.H. 89A
" Boboc,Pour info tu pourrais faire passer l'annonce de la disparition du Colonel Daniel GARUZ au Pérou, il est décédé le 14 janvier 2011, et avons ( avec Jérome LEMOINE que tu connais bien) été prévenus ces jours-ci par son épouse Olga, très affectée.J'ai maintenant un peu plus de nouvelles par les amis parachutistes Péruviens ( Docteur Jaime CHANG ) ...Pour tous ceux qui l'ont connu dans le sud et ailleurs, Daniel GARUZ à créé avec un autre ancien; THUREL, le paraclub de Cahors dans les années 70, il a sauté dans beaucoup de Clubs, dont aussi à Bergerac.Gravement blessé a un bras en Indochine, je crois -il était très discret dans toutes ses actions tant militaires, que civiles plus tard au Pérou- cela ne l'empêchait pas de sauter et aussi de piloter les Cessna pour larguer au Centre de para de Lima.Il était en poste d'attaché militaire au Pérou, mais rayonnait par ses actions officielles ou sportives dans plusieurs pays d'Amérique du sud.Avec une discrétion et une modestie extrême, il a servi les intérêts Français dans la région avec les marchés d'équipements militaires; du gros ( Mirages...) et du plus souple ( parachutes EFA, PF....) .A la retraite,il est resté vivre, avec son épouse Olga - Péruvienne d'origine-, dans ce pays adoptif qu'il aimait, et au lieu de prendre du repos, il a continué a organiser l'activité, les compétitions et se démener pour le parachutisme sportif.Plus connu et reconnu, certainement dans cette partie du monde qu'en France, il a largement contribué à renforcer les liens France-Amérique Latine, parmi toute une population active et cultivée qui ne l'a pas laissé tomber.Pendant le déclin progressif de sa santé, qui s'est étalé sur plusieurs mois, jusqu'à en arriver à un état végétatif; les paras de plusieurs clubs n'ont pas tourné le dos, ils l'ont accompagné jusqu'à la fin, soutenant aussi son épouse.Auparavant, lorsqu'il pouvait encore se déplacer, c'est en donnant son nom au centre de parachutisme de LIMA, qu'ils ont décidé de l'honorer par une réception très émouvante ( ou il était, parait-il, très gêné par cette surprise ).Je me suis permis de remercier les représentants des clubs Péruviens pour cette attitude au nom des parachutistes Français qui le connaissaient.Le cercueil de Daniel GARUZ devrait arriver sous peu, il sera enterré au cimetière de LANGOIRAN, d'où il était originaire.Il avait là une maison où il venait passer quelques mois en été, au milieu des vignes qu'il appréciait.Je n'ai pas de précisions sur le déroulement des obsèques, mais Jérome Lemoine essaye de se renseigner avec la mairie du lieu.
L'album de Corinne
ça y est ! je crois que j'ai vu, revu et rerevu toutes les pages du blog ... quel plaisir !!! merci encore
J'ai même repris contact avec Didier sincèrement je n'y croyais plus et c'est une vraie belle surprise !! Merci aussi
Je me suis replongée dans mon carnet de saut (que je consulte assez régulièrement d'ailleurs tellement ce sont de bons souvenirs !) Pour moi, le 1er saut était le 7 juillet 1980 (à Bergerac bien sûr) avec toute la bande de Normandes préparées intensément par Didier (roulés boulés et pompes à gogo, il se régalait !!!) Comme l'a dit Marie-Odile : beaucoup d'adrénaline à ce 1er saut .. je remercie l'âme charitable (devinez qui ?) qui a mis fin à mon hésitation à la porte. Ensuite, dès que nous le pouvions, nous quittions notre Normandie pluvieuse, direction Bergerac, profitant des stages jeunes pour enchainer les sauts et pouvoir gouter le plus vite possible à la chute libre ! En ce temps là, c'était tout un parcours avant d'en arriver aux joies de qq secondes de chute.
Voici les photos que j'ai retrouvées : les copines et les pros qui forçaient mon admiration : les hommes volants : mes idoles : des demi-dieux à mes yeux !!
Envoyez vos témoignages.............
Une légende du parachutisme sportif
Premier saut en1958 :
Un personnage hors norme, il totalisait plus de 14 000 sauts, un record qu'il a détenu pendant de nombreuses années.
Il est mort à l'âge de 59 d'un accident de parachute aux USA.
Un livre lui est consacré : "Seuls les oiseaux savent ou La vie tumultueuse de Roch Charmet" d'Alain Duchêne, Éditions Quixada
Sur les traces de Léo Valentin
Extrait de l'album de Valérie KB
J'ai vu les photos de roch que j'ai bien connu à Perpignan pour avoir partagé ses dernières années. Nous avons mangé ensemble le soir avant de prendre la direction des USA. Ensemble nous avons effectué de nombreux meetings, ci-dessous une photo. J'ai également eu l'occasion de faire une photo en chute.
Jean-Michel DALTON
UN « BREF RESUME » sur la vie parachutiste de Roch Charmet sur : http://unp73.fr/2.html
Un livre sur la vie de Roch a été écrit par Alain DUCHENE.
Son titre : "ITINERAIRE D'UN AVENTURIER"
Vous pouvez le commander au secrétaire au tarif de 10 Euros, port compris.
Sur le site de Valérie et par elle même :
L'aviation à Courville pendant la première Guerre Mondiale
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Photo : F. Rickard
Cela a commencé par une grosse envie d’aller voir le ciel de près, et après quelques années d’attente, par une rencontre, à un arrêt de bus, avec une amie perdue de vue. « Je fais du para, m’a-t-elle dit, c’est super, tu devrais toi aussi aller t’inscrire à l’AS Sorbonne à Port Royal ! »
J’ai surmonté les débuts un peu ingrats, la gym obligatoire, les trajets galère, la météo aléatoire de Maubeuge où était basé le club étudiant parisien, le matériel rétro, les locaux au confort sommaire, les douches froides, le cassoulet et la ratatouille en boîte, la faune hétéroclite et très masculine, les blagues douteuses, qui faisaient le charme de nos vieux centres de parachutisme. Il y avait heureusement Micheline Violin, qui régnait sur le centre et mettait un peu de délicatesse dans ce monde de brutes.
En 1983, premiers stages jeunes avec la bande de copains de l’AS Sorbonne (la Roche sur Yon, Chalon sur Saône) … et encouragements paternels : « maintenant, que tu as sauté, tu peux tourner la page : et si tu essayais autre chose, la montgolfière, le vol à voile, l’hélico ? »
Avec
Pascale Piketty
J’ai commencé le deltaplane la même année, avec des amis rencontrés au para. Impossible de choisir entre mes deux nouvelles passions, mais les montagnes sont quand même plus loin de Paris que les centres de parachutisme, et on se marre peut-être plus avec les parachutistes qu’avec les montagnes.
Après un épisode douloureux d’une année éclopée (il faut dire qu’avec les amis du para, on a fait beaucoup de choses, et notamment de l’ascensionnel, et là en revanche, j’ai moins pris mon pied, si je puis dire), je suis repartie bon pied bon œil (ça c’est la bonne blague de Jean-Jacques Fredj) à la recherche d’une équipe de Vol Relatif.
Quand tous les camarades de progression ont une année d’avance, c’est parfois laborieux de constituer une équipe. Néanmoins, arrivée en ciel inconnu à La Ferté Gaucher, j’ai fait la rencontre de Françoise Marchat, Aurore Barthas et Carole Gaignon, et nous avons formé les Étincelles, devenue équipe Vital-Kway, plus concentrée sur les meetings que sur les sauts d’entraînement. Cela nous a valu des déceptions aux championnats de France, mais combien de rencontres magnifiques aux haras de Marcel Rozier, circuit de Montlhéry, coupe de France de Paraski, Trophée Ford au golf de Saint Cloud etc !
En 1987, c’est Daniel-Michel Holleville qui m’a proposé de faire une nouvelle équipe avec Hélion de Cambourg et Patrick Carbonnier, le PUC. La Palisse était devenu notre QG, peut-être parce que le château de notre marraine à tous, Marie-Ange, se trouvait à proximité.
Le PUC et un tandem avec Marie-Ange
Après des années d’errance sur tous les terrains de saut de l’hexagone, je suis partie m’entraîner à Bergerac avec une nouvelle équipe composée de Pascal Chansard, Bertrand Vuillaume et Jean-Charles Louiset, qui sera remplacé l’année suivante par Patrick Chavanon, et avec un vidéoman de choc qui sera toujours notre coéquipier de cœur, Lionel Romanin. Le très regretté Jean-Charles Rasmont, « le magic dragonfly » venait aussi nous faire des vidéos.
Les Quantics devant le Twin de la Ferté
Deux saisons magnifiques s’achevèrent en apothéose avec le tournage du film « les charmes du vin », projeté lors des championnats de France à Vichy en 1990, devant toute la fine fleur du parachutisme.
Je n’oublierai pas non plus la compétition à 8 avec l’équipe des Lyonnais de Patrick Passe, qui nous a valu une médaille de bronze bien méritée.
Vichy 90
Bertrand Vuillaume, Karine Leclerc et Benoît Laurent - qui par la suite a piloté le premier Airbus A380 jusqu’à New York, (maintenant, que fais-tu Benoît ? Es-tu parti dans l’espace? ) sont venus me rechercher dans le trou champenois où je me suis exilée pour refaire une coupe de France en 1992. Ce fut encore une belle année.
VR4 avec les Quantics au dessus de la Ferté
Niort 90 avec les italiennes
Un premier canopy
Karine
La Ferté
Un vol en parapente à Monaco Jacques, Jeff et FX
Un stick avec Scott
Un meeting à Toul
photos : F. Rickard
Des vidéos à voir et revoir réalisées par Éric Magnan (qui faisait du para dans les années 90)
http://www.youtube.com/watch?v=BwLv3rQ3ZAE
http://www.youtube.com/watch?v=dNbGsggw0ck
Il y en a une… elle m’énnnnnerrrrve… elle habite juste à coté de chez moi… malgré toutes ses belles étoiles je n’ai pas encore reçu une photo.
Enfin… il faut l’excuser c’est un pilote américain* et son petit village qui l’occupent beaucoup.
http://www.courvillepatrimoine.fr/
* on ne dit pas son nom... c'est William Muir Russel
William Muir Russel aviateur américain mort pour la France le 11 août 1918 à Courville (51)
Il s’engagea le 26 avril 1917 avec un de ses amis dans l’Aviation où il fut admis comme sergent. Son père, qui lui avait proposé une belle situation professionnelle à New-York, accepta le départ de ce fils aimé avec résignation.
En juillet 1918, après plusieurs mois de formation aux USA et en France, William Muir Russel fut envoyé au cœur des combats autour de Chateau-Thierry, puis au-dessus de la vallée de la Vesle. Alors qu’il participait à une patrouille de protection d’une mission photographique, et se trouvait en queue d’une formation de 13 Spad, il fut attaqué à l’arrière par 5 Fokkers allemands. Après un âpre combat, il perdit le contrôle de son avion qui partit s’écraser au sol. Il fut enterré dans le cimetière de Courville.
Plus d'infos sur le site : www.courvillepatrimoine.fr
Bon ! la page de Pascale est rendue à saturation, donc voilà la suite de l'album.
79 l’AG décisive pour la relance du centre, HdWdG lâche
un peu le manche pour prendre les commandes de l’asso
Un sourire de tristesse mais surtout d’espoir :
ton large sourire cache un grand désastre, pour toi, tes proches, tes amis. Mais surtout pour l’aéronautique française. Un banal incident de saut t’a fait perdre ton ticket pour l’espace.
Mais bon ! Cela révéla, une fois de plus, ton exceptionnelle force de caractère. A peine remis des tes émotions, ton humour reprenait le dessus —notamment sur ton anatomie intime "défigurée", enfin... provisoirement ! Au vu de tes capacités à rebondir, il est d’ailleurs bien difficile de comprendre comment tu as pu te faire si mal.
Pour nous tous, tu es toujours un meneur d’hommes hors pair, Henri. A chaque remaniement ministériel, chacun guette ta nomination. Jusqu’ici en vain. Mais... qui sait ? (NDLR)
Entre amis, chez moi à Paris :
hiver 79/80: bruno et ses moustaches
Les 3 autres ont été prises à Arcachon, chez Henri, le 04/03/1980: le jour de son anniversaire (30 ans)
"ce jour là, Bruno nous a fait la surprise d'arriver sans ses moustaches"
Un énôôôôôôôôôôôôrme merci pour ce blog dont j’aime à recevoir les news pour me replonger dans ces années certes brèves mais tellement riches et intenses !!!!!!! (entre 80 et 83)
Ca commence pour moi un jour d’hiver 79 où Didier avait décidé de faire descendre des Rouennais découvrir le parachutisme à…Bergerac. Alors qu’on avait des centres à Dieppe, Le Havre, Caen…Mais je l’ai découvert plus tard. Avec un magnifique diaporama et une musique sans doute planante -je ne me souviens plus bien, mais Jonathan ne devait pas être loin-, il a réussi l’exploit de convaincre une poignée de Nordiques qu’à Bergerac il faisait beau toute l’année, et à nous préparer et nous emmener pour les vacances de février 1980 !!! Chapeau. 5 normands à Bergerac. On était tous seuls sur le centre !!! Mais c’était fabuleux, il a fait un temps merveilleux !!! Ceci dit, moi, ça faisait bien longtemps que j’en rêvais de ce saut. Et ça a été magique.
1er saut, grosse poussée d’adrénaline
Une trouille énorme à la montée, un trou noir à la porte, et ensuite, un rêve. Toute ma vie je me souviendrai de ce premier saut. De ce silence extraordinaire. Le 6520 n’avançait pas, ça non, mais au moins il était silencieux J
Charlie Victor, avion fétiche
Après, tout s’est bousculé pendant 3 ans. J’aimais ça mais je n’étais pas très douée, faut bien dire. J’aurais peut être fait une bonne free styleuse si ça avait existé, mais très free J
Mais à l’époque, même faire du VR, ce n’était pas facile, n’est-ce pas Nadine ? Malgré tout, on s’est bien amusées.
Pascal
Corinne la veinarde qui va faire un tour de Stamp avec Henri un jour de vent trop fort pour nous (toujours les 6520)
Véro et Marie-Laure
Dominique, montée sur ressorts et toujours la première à
grimper dans l’avion
Nadou, trop sympa…….
Si quelqu’un sait ce qu’elle est
devenue…..
Coupe Gilles Yout PA 1983 :
J’ai gagné la seule et unique coupe de ma vie ( pas très glorieux, je crois qu’on était 2 filles), mais l’hélico, qu’est ce que c’était chouette !!
La bande des Rouennaises
Rouennais divers affalés pour la sieste devant Air ou la Misère. Le parachutisme est un sport de forçats
Et Maryvonne, dont je n’ai curieusement pas de photos, mais que tout le monde connaît………
Quelques glorieuses figures
« - Mariiiiie... t’as pensé au p’tit mot pour les anciens* de Bergerac ? Parce qu’après, ça risque d’être trop tard ! - Oui Dom, ça y est, il est prêt le p’tit mot ! »
(*dans “les anciens de Bergerac”, il faut entendre tout le respect que Dom y a glissé... )
Ecrire à quelqu’un que l’on connaît très peu n’est pas si facile, mais lorsqu’il s’agit d’inviter et de remercier, les mots viennent tout seul.
Grâce à vous, l’Ecole Niort-Parachutisme a trouvé ses quartiers, depuis le mois d’avril, dans un beau et grand hangar à ossature bois.
A chaque séance, nous nous l’approprions un peu plus, les sautants y trouvent leurs marques, de même que le staff technique et les bénévoles qui contribuent au bon déroulement de l’activité.
L’hébergement sera en fonction pour la saison prochaine.
Ecrire à quelqu’un que l’on connaît très peu n’est pas si facile, mais lorsqu’il s’agit d’inviter et de remercier, les mots viennent tout seul.
Grâce à vous, l’Ecole Niort-Parachutisme a trouvé ses quartiers, depuis le mois d’avril, dans un beau et grand hangar à ossature bois.
A chaque séance, nous nous l’approprions un peu plus, les sautants y trouvent leurs marques, de même que le staff technique et les bénévoles qui contribuent au bon déroulement de l’activité.
L’hébergement sera en fonction pour la saison prochaine.
Nous avons décidé d’inaugurer ces nouveaux locaux le samedi 18 juin 2011, et au-delà de l’appel (trop facile... ), c’est une invitation que nous vous adressons, invitation à laquelle nous serions heureux que vous répondiez présent, vous sans qui tout cela n’existerait pas !
Je ne fais pas partie de ceux qui ont connu
“l’esprit Bergerac”, mais Patrice (qui reste très fort avec nous par la pensée) oui, et il a su insuffler à l’équipe ce qu’il a trouvé chez vous de chaleureux. Le chemin que nous poursuivons au travers de l’Ecole Niort-Parachutisme est celui qu’il a commencé à tracer au sein du
Bergerac nous accompagnera tout au long de l’évolution de l’Ecole.
Merci d’être là samedi 18 juin pour partager avec nous un grand moment, duquel l’émotion ne sera pas absente...
Marie, pour toute l’équipe de l’Ecole.
Bergerac nous accompagnera tout au long de l’évolution de l’Ecole.
Merci d’être là samedi 18 juin pour partager avec nous un grand moment, duquel l’émotion ne sera pas absente...
Marie, pour toute l’équipe de l’Ecole.
http://www.niort-parachutisme.com
Mon 1er saut...
Avec Britt, on s'était promis de le faire ensemble losqu'on pilotait toutes les deux à Gisy les Nobles (aérodrome de Pont/yonne 89); on voyait alors Jean-Claude s'entraîner dans le cadre de l'E.I.S et le parachutisme nous tentait bien... un jour de semaine du mois de Juillet (1979), Britt me téléphone de Bergerac en me demandant si j'étais toujours d'accord pour faire ce 1er saut avec elle; j'ai bien sûr répondu que j'arrivais et qu'elle m'attende; de Paris, j'ai pris le 1er train et j'ai intégré les derniers jours d'un stage UCPA. Trois jours après, nous sautions ensemble au coucher du soleil. Briit a sauté en premier; au moment de me présenter à la porte, craignant de retarder le numéro 3 du stick, j'ai enjambé sans attendre...C'était un grand moment; calme, superbe et magique; j'ai immédiatement pensé à Jonathan Livingstone le goëland...Je pensais que chaque individu devait vivre cette expérience au moins une fois dans sa vie; puis j'ai entendu la voix de Britt, en dessous; Jean-Claude lui donnait des conseils...qui devaient l'agaçer ...et elle s'est écriée " ah, si tu continues, je n'atterris pas!!!" Le temps d'esquisser un sourire en pensant que notre Britt avait du caractère, c'était à moi d'atterrir. J'étais heureuse et prête pour un 2ème saut.
ce sont mes 1ers sauts en commandé, photographiés par JC,
la position n'est pas parfaite mais le sourire à mes lèvres illustre bien mon bonheur
Il s'agit du fameux piano de Britt (un quatre mains avec Lionel);
l'autre photo a été prise en 0ctobre 1979: après un atterrissage (réussi, je précise), en voulant rejoindre rapidement la camionnette pour rejoindre le centre,
j'ai mis le pied dans un trou...
Eh hé ! JC est arrivé
Félix, Pascale et son album
A vous de trouver la légende
Comme promis, voici les photos de Jerry; il a fallu le temps que je les retrouve;
Mes parents ont gardé un album entier sur Bergerac...
L'album de Pascale (suite)